1.    ANOREXIE MENTALE.
Définition et causes.
Restriction alimentaire volontaire sous-entendue par une peur de grossir, alors que le poids est déjà anormalement bas. La cause est inconnue.

Epidémiologie.
Ce trouble survient principalement chez les adolescentes, plutôt originaires de milieux socio-économiques favorisés. La prévalence est de 0,5 à 1% des femmes entre 16 et 25 ans. Un cas  sur 10 est de sexe masculin. 

Signes et symptômes.
Les trois signes principaux sont :
  • L’anorexie, qui est une conduite volontaire  de restriction alimentaire avec une lutte active contre la faim (vomissements provoqués parfois après un excès de boulimie, abus de laxatifs…)
  • Un amaigrissement pouvant aller jusqu’à 50% du poids normal pour l’âge.
  • Une aménorrhée, c'est-à-dire une absence de règles pour une fille pubère.
Il persiste souvent une hyperactivité motrice et intellectuelle. 

Investigations.
Le bilan sanguin a pour but d’apprécier le retentissement biologique et endocrinien  de l’état de dénutrition et d’éliminer une éventuelle cause organique.

Evolution, Complication et Pronostic.
Les principales complications sont la cachexie (phase terminale de l’amaigrissement avec épuisement de l’organisme) et les troubles hydroélectrolytiques (en particulier hypokaliémie). La mortalité est d’environ 5%  à cinq ans, mais peut remonter à 15% à quinze ou vingt ans dans certaines études. Les tentatives de suicide concernent 15 à 20% des patientes. Dans un tiers des cas, l’évolution est bonne, avec une reprise de vie normale ; dans un tiers des cas, la guérison est incomplète avec des difficultés psychologiques et des conduites alimentaires atypiques ; enfin dans le dernier tiers, une aggravation se produit avec une chronicisation des troubles. 

Traitement.
L’hospitalisation est nécessaire (parfois en urgence en cas de danger immédiat pour la vie de la patiente) avec une séparation momentanée de la famille. Une prise en charge psychothérapeutique avec une thérapie familiale est ensuite nécessaire.


2.    ANOSMIE.
Perte complète ou partielle, uni ou bilatérale  de l’odorat. Il existe trois formes aux étiologiques différentes :
  • La forme aiguë conséquente d’un traumatisme crânien (atteinte de l’étage antérieur avec lésions des voies nerveuses olfactives), d’une infection du nez et des sinus  ou d’une intervention neurochirurgicale.
  • La forme progressive dans le cadre d’une infection chronique (rhinite , sinusite) de polypes nasosinusiens ou d’une tumeur de l’étage antérieur  de la base du crane.
  • La forme congénitale qui correspond au syndrome de Kallman de Morsier.

3.    ANTHRAX.
Agglomérat de furoncles (>) réalisant un placard inflammatoire  en relief, douloureux, fébrile, souvent localisé à la nuque. Le traitement consiste en des soins locaux et une antibiothérapie par voie générale. 


4.    ANTHRAX.
Appellation anglo-saxonne du charbon. (>)


5.    ANTICORDS ANTIPHOSPHOLOPIDES
(SYNDROME DES)
Association de thromboses (veineuses ou artérielles) ou de pertes fœtales à la présence d’anticorps antiphospholipides (auto-anticorps). Ce syndrome peut être primaire ou présent dans le cadre d’un lupus (prévalence de 30%). Les signes évocateurs sont les phlébites et les embolies pulmonaires récidivantes, les thromboses artérielles du sujet jeune et les pertes fœtales répétées. Il existe fréquemment une diminution de plaquettes (thrombocytopénie). Le traitement utilise la vitamine K ou l’aspirine au cours de la grossesse.


6.    ANTITHROMBINE 3 (DEFICIT EN).
Définition et causes.
Déficit génétique en antithrombine 3 qui est un inhibiteurs de certains facteurs  de la coagulation, ce qui entraine un risque accru de thrombose. La transmission est autosomique dominante.

Epidémiologie.
Ce déficit touche une personne sur 2 000 à 5 000.

Signes et symptômes.
Thromboses préférentielles des veines des membres inférieurs.

Investigations.
Elles comprennent un dosage immunologique et de l’activité de l’antithrombine 3.

Evolution, Complication et Pronostic.
L’embolie pulmonaire est la complication majeure des thromboses périphériques.

Traitement.
En cas de thrombose, le traitement comprend l’héparine avec un  relais par antivitamine K qui seront poursuivis à vie. En cas de résistance à l’héparine, il est possible d’utiliser de l’antithrombine 3 humaine purifiée. Lorsque le déficit reste asymptomatique, un traitement préventif avant tout geste médical ou chirurgical augmentant le risque de thrombose est essentiel.

Prévention et Education.
Une étude familiale est utile car la moitié de la fratrie peut être touchée. 


7.    ANTLEY-BIXLER (SYNDROME D’).
Maladie très rare dont la cause n’est pas connue. Elle est caractérisée par la fusion anormales de certains os, en particulier du crane, des hanches et des bras. La sténose des choanes doit être traitée dans l’enfance (risque d’obstruction des voies respiratoires à l’origine de décès et la craniectomie permet de traiter la craniosténose (soudure des os du crane).


8.    ANURIE.
Absence totale d’émission d’urine. Les causes les plus fréquentes sont une obstruction des voies urinaires (calcul, tumeurs…) ou une insuffisance rénale aiguë (>).


9.    ANXIETE  DE SEPARATION.
Définition et causes.
Anxiété excessive de qui survient lorsque l’enfant est séparé des parents. L’âge moyen de début se situe entre 6-7ans. Le début peut être spontané ou survenir à la suite d’un événement de vie stressant (maladie, hospitalisation, décès  dans la famille, changement d’école…).

Epidémiologie.
Il s’agit du plus fréquent des troubles anxieux de l’enfant et de l’adolescent avec une prévalence de 4%.

Signes et symptômes.
Les trois signes sont :
Une détresse lors  de la séparation (pleurs, crises de colère, demande pressante aux parents de ne pas partir ; état de panique avec céphalées, nausées, vomissement, palpitations,  vertiges…).
Des ruminations et des préoccupations morbides (craintes d’accidents ou de maladies pour lui-même ou ses parents ; peur exagérée des agresseurs, des voleurs ou des ravisseurs d’enfants…).
Une nostalgie de chez soi et un intense désir de réunion familiale (sentiment de manque de la maison  avec tristesse, apathie et incapacité à se concentrer sur aucune activité).

Evolution, Complication et Pronostic.
L’évolution se fait sur plusieurs années avec des rémissions entrecoupées d’exacerbations ; les principales complications sont l’isolement et le retrait social (refus scolaire, troubles du comportement, agressivité). La présence de ce trouble représente un facteur de risque important de la survenue ultérieur de troubles phobiques  dépressifs et addictifs (dépendance vis à vis de drogues).  

Traitement.
Il pris en charge est exclusivement psychothérapeutique. Cette prise en charge doit concerner aussi bien les parents que l’enfant lui-même.


10.     APACHE SYNDROME.
Acronyme pour acral pseudolymphomatous angiokeratoma of children . Il réalise un aspect d’angiokératomes  (>) des mains et des pieds, dont l’aspect histologique ressemble à un lymphome.

11.     APECED SYNDROME.
Acronyme utilisé pour désigner un syndrome associant une candidose cutanéomuqueuse chronique apparaissant dans l’enfance, une hypoparathyroïdie  et une insuffisance surrénale avec des anticorps antisurrénaliens (auto-immune polyendocrinopathy candidiasis ectodermal dystrophy). Il s’agit d’une affection génétique rare de transmission autosomique récessive faisant partie des polyendocrinopathies auto-immunes  (>).


12.     APERT (SYNDROME).
Maladie génétique très rare (1 nouveau né sur 100 000), de transmission autosomique dominante. Elle associe :
  • Une atteinte craniofaciale comprenant une craniosynostose (soudure des os du crane) avec hypoplasie (développement insuffisant médiofaciale).
  • Une syndactylie (soudure des doigts des mains et des pieds).
  • Une communication interventriculaire.
  • Le gène de cette maladie a été identifié et un diagnostic prénatal est possible.


13.     APHTOSE.
Définition et causes.
Les aphtes sont de petites ulcérations, le plus souvent muqueuses, buccales ou génitales, douloureuses et récidivantes. La cause est inconnue. Certains aliments (noix, fraises, gruyère…) favorisent les poussées. Lorsqu’elle précède les règles, on parle d’aphtose cataméniale.

Epidémiologie.
C’est une affection fréquente.

Signes et symptômes.
Les ulcérations ont une forme arrondie de 2 à 10 mm de diamètre, des bords nets avec un fond jaunâtre et sont entourées d’un halo rouge. Elles sont très douloureuses pendant 3 à 4 jours.
L’aphtose bipolaire (buccale et génitale) ou multipolaire s’observe dans la maladie de Behçet.

Investigations.
Le diagnostic est clinique.

Evolution, Complication et Pronostic.
La poussée guérit spontanément en 10 à 15 jours, mais les récidives sont fréquentes. 

Traitement.
On utilise un anti inflammatoire très efficace : pyralvex.








14.     APLASIE MEDULLAIRE.
Définition et causes.
Atteinte de la moelle entrainant une chute  de la production des globules rouges, des globules blancs  et des plaquettes (pancytopénie). Les causes les plus fréquente sont toxiques (anticancéreux, autres médicaments, irradiation), génétique (maladie de Fanconi) ou infectieuses (hépatite virale). Mais dans certains cas, aucune cause n’est retrouvée.  

Epidémiologie.
C’est une situation fréquente, du fait de la large diffusion des chimiothérapies anticancéreuses. 

Signes et symptômes.
Le début de l’aplasie est souvent insidieux. Les signes les plus fréquents sont une sthénie, une pâleur, des pétéchies (petits points rouges sur la peau), des ecchymoses, des hémorragies gingivales, nasales ou digestives. Parfois, une infection peut être révélatrice.

Investigations.
L’hémogramme, éventuellement complété par une ponction et une biopsie médullaire, permet de faire le diagnostic.

Evolution, Complication et Pronostic.
Le pronostic dépend de la cause,  de la gravité de l’atteinte, de sa réversibilité et des effets du traitement. La mortalité reste importante, principalement du fait des complications infectieuses.

Traitement.
La prévention et le traitement très précoces des infections sont essentiels. Le déficit des différents éléments figurés du sang est corrigé par des transfusions (globules rouges, plaquettes), l’administration de facteurs de croissance des granulocytes  et d’androgènes.

Prévention et Education.
Les moyens pour diminuer l’apparition et/ou la sévérité des aplasies sont : l’amélioration des protocoles  de chimiothérapie, l’utilisation des facteurs de croissance et la limitation de l’emploi de médicaments potentiellement toxiques. 

















15.     APNEES DU SOMMEIL.
(SYNDROME D’)
Définition et causes.
Survenue d’au moins 10 apnées ou hypopnées (diminution du flux respiratoire)  de plus de 10 secondes par heure de sommeil. La cause principale est une obstruction des voies aériennes supérieures, conséquence de l’hypotonie musculaire, au cours du sommeil ; plus rarement, il s’agit d’un trouble  de la commande centrale de la respiration. 

Epidémiologie.
Le profil type est un homme (ou une femme après la ménopause), obèse, entre 40 et 65 ans, consommateur d’alcool. Selon certaines études, jusqu’à 4% des hommes seraient atteints.

Signes et symptômes.
Association :
  • D’un ronflement nocturne fort, irrégulier avec pauses suivies de reprise inspiratoire bruyante.
  • D’une somnolence diurne.
  • De troubles de l’attention et de la mémoire.
  • D’une irritabilité.
  • De céphalées matinales.

Investigations.
L’oxymétrie nocturne montre des épisodes de désaturation  de l’hémoglobine en oxygène. La polygraphie nocturne du sommeil (associant électro-encéphalogramme, électromyogramme, électro-oculogramme, flux et effort respiratoire, ainsi qu’un enregistrement électro cardiographique et une oxymétrie) permet le diagnostic.

Evolution, Complication et Pronostic.
Les complications sont une hypertension artérielle, une polyglobulie, une hypertension artérielle pulmonaire et des accidents du travail ou de la voie publique liés à la somnolence. 

Traitement.
Il consiste en la suppression de facteurs d risque (obésité, alcool, benzodiapézines) et la correction d’anomalies ORL et du massif facial. L’uvulo-palato-pharyngoplastie (reconstruction chirurgicale du carrefour pharyngé) est efficace dans les cas peu sévères. La ventilation nocturne avec un masque nasal offrant une pression positive continue est le traitement préférentiel.  

Prévention et Education.
Ne pas se résigner aux ronflements nocturnes. Evoquer ce diagnostic du fait de la gravité de ses complications.


16.    APOPHYSITE CALCANEENNE  ou
 (>) SEVER ( MALADIE DE)



17.    APOPHYSITE TIBIALE ANTERIEURE    ou
 (>) OSGOOD-SCHLATTER (MALADIE) .


18.     APPENDICITE AIGUE.
Définition et causes.
Inflammation aiguë de l’appendice qui peut être favorisée par une stase ou par l’obstruction par un coprolithe (amas durci de matières fécales).

Epidémiologie.
300 000  appendicectomies par an en France. L’appendicite aiguë est la cause de 25% des syndromes douloureux abdominaux aigus vus aux urgences. Le est sous estimée chez l’adulte et le vieillard, souvent opérés au stade de la complication, et surestimée chez l’enfant et l’adolescent.

Signes et symptômes.
La forme typique associe :
  • Une douleur spontanée, d’installation brutale, dans la fosse iliaque droite (renforcée par la palpation avec, une fois sur deux, une réaction de défense).
  • Une fièvre modérée.
  • Des vomissements.
  • Une diarrhée.

Les formes trompeuses sont :
  • Rétrocoecale ; simule une colique néphrétique.
  • Sous-hépatique ; signes localisés au niveau  de l’hypocondre droit.
  • Mésocoeliaque ; iléus paralytique (occlusion intestinale) réactionnel fébrile.
  • Pelvienne : douleur bas située, signes urinaires fréquents et vive douleur au toucher rectal.
  • Herniaire : simule un étranglement herniaire.


Investigations.
Il existe une hyperleucocytose sanguine. La radiographie d’abdomen sans préparation et l’échographie permettent d’éliminer d’autres affections

Evolution, Complication et Pronostic.
La principale complication est la perforation avec péritonite aiguë généralisée ou plastron appendiculaire (en cas de cloisonnement). Il existe une possibilité d’évolution vers le choc septique en cas de retard au traitement.

Traitement.
Le traitement  de l’appendice diagnostiquée est exclusivement chirurgical (dans ce cadre la mortalité  est très faible, de l’ordre  de 4 pour 1000).




19.     ARBOVIROSES.
Ensemble des maladies infectieuses dues aux arbovirus, virus transmis par des arthropodes ou insectes piqueurs (arthropod borne virus). Elles entrainent soit des syndromes fébriles algiques (fièvre à tiques du Colorado, dengue…) soit des encéphalites (encéphalites de Saint Louis, encéphalite japonaise…) soit des syndromes hémorragiques (fièvre jaune, fièvres hémorragiques…).


20.     ARLEQUIN (SYNDROME D’).
Maladie génétique de transmission autosomique récessive caractérisée par un trouble de la kératinisation (ichtyose), probablement dû à des anomalies des lipides cutanés, qui se manifeste par une hyperkératose massive sillonnée de profondes crevasses. L’aspect fait penser à l’habit d’arlequin. Le décès survient dans les premières semaines de vie. Un diagnostic anténatal est possible par examen d’une biopsie cutanée en microscopie électronique.


21.     ARNOLD -CHIARI (MALFORMATION D’).
Anomalie de formation du tronc cérébral caractérisée par une élongation des amygdales cérébelleuses qui font hernie à travers le trou occipital, un allongement du bulbe et un épaississement  de la moelle cervicale haute. Elle peut être isolée ou associée à une syringomyélie (>). Les principaux signes sont une hypertension intracrânienne due à une hydrocéphalie. L’IRM est l’examen de choix et le traitement est neurochirurgical, avec une ouverture du trou occipital.

























22.     ARRET CARDIORESPIRATOIRE (ACR).
Définition et causes.
Interruption brutale de la circulation et de la  ventilation. Les principales causes sont cardiaques (troubles du rythme et de la conduction dans le cadre d’une maladie coronaire, d’une valvulopathie ou d’une cardiomyopathie), respiratoires (asthme aigu grave, corps étranger) ou accidentelles (traumatismes, intoxications, noyades…)

Signes et symptômes.
Le diagnostic est établit sur :
  • L’absence de pouls carotidien décelable.
  • Une absence de ventilation spontanée efficace.
  • Une perte de connaissance brutale.
  • Une mydriase (dilatation des pupilles).
  •  
Investigations.
Le tracé scopique montre une fibrillation ventriculaire ou une asystolie (tracé plat).

Evolution, Complication et Pronostic.
En l’absence de réanimation cardiopulmonaire de base dans les 4 premières minutes et de réanimation médicalisée dans les dix premières minutes , le taux de survie est très faible ; Le pronostic global est très mauvais , avec seulement 2 à 3%  de survie à 6 mois.

Traitement.
La prise en charge secouriste comprend :
  • La reconnaissance rapide de l’ACR.
  • L’alerte immédiate (15 ou18).
  • Les gestes élémentaires de survie. (A liberté des voies aériennes, B ventilation C massage cardiaque externe).
La réanimation spécialisée nécessite l’utilisation d’un scope défibrillateur avec défibrillation immédiate en cas de fibrillation ventriculaire, une intubation et l’injection d’adrénaline (éventuellement complété  de celle de lidocaïne.  

Prévention et Education.
L’éducation de la population aux gestes qui sauvent (Attestation de formation aux premiers secours) et la diffusion de défibrillateurs semi-automatiques pouvant être mise en œuvre par des secouristes pourraient améliorer le taux de survie des patients.


23.     ARTERE POPLITEE PIEGEE (SYNDROME L’).
Compression de l’artère poplitée par des éléments musculotendineux variés, due à une anomalie  de son trajet. Les principaux signes sont une claudication intermittente du mollet (boiterie due à une douleur du mollet) ou à une ischémie aiguë de la jambe sous le genou du fait d’une thrombose locale. Des embolies distales sont également possibles.





24.     ARTERIOPATHIE OBLITERANTE DES MEMBRES INFERIEURS.
Définition et causes.
Obstruction des artères des membres inférieurs due à des lésions d’athérosclérose  (>) qui provoquent un épaississement de leur paroi, des thromboses locales, une sténose puis une occlusion. Le facteur favorisant le plus important est le tabac.

Epidémiologie.
Cette affection concerne 800 000 personnes en France et est responsable de 6 000 amputations par an.

Signes et symptômes.
Le signe le plus significatif est la claudication intermittente : crampe (le plus souvent au mollet) douloureuse survenant à la marche, obligeant à l’arrêt et réapparaissant pour un périmètre de marche fixe (plus le périmètre est réduit, plus l’atteinte est sévère). Des douleurs en position couchée sont possibles ; elles sont soulagées par la position jambes pendantes. Les pouls au niveau du pied sont diminués ou absents.

Investigations.
L’échographie couplée au Doppler artériel permet le diagnostic. L’artériographie fait partie u bilan postopératoire.

Evolution, Complication et Pronostic.
Les principales complications sont les troubles cutanés dus à une mauvaise vascularisation (ulcère de jambe, nécrose des orteils poussée d’ischémie aiguë de jambe…) En l’absence de facteurs de contrôle de risque , notamment la suppression du tabac, l’évolution est inexorable avec des amputations répétitives  de plus en plus hautes.

Traitement.
Le traitement médical comprend l’arrêt du tabac, la correction des autres facteurs de risque de l’athérosclérose, les antiagrégants plaquettaires, les vasodilatateurs, ainsi que la marche quotidienne. Le traitement chirurgical utilise la désobstruction, le pontage artériel ou l’amputation lorsque l’ischémie est irréversible.

Prévention et Education.
La suppression du tabac est impérative dès les premiers signes.



25.     ARTERIOSCLEROSE.
Terme général pour désigner l’épaississement et la perte d’élasticité  de la paroi artérielle. La forme la pus importante est l’athérosclérose (>) qui touches les artères de gros et moyen calibre.






26.    ARTERITE GIGANTOCELLULAIRE ou (>)
HORTON (MALADIE DE).


27.    ARTERITE DE TAKAYASHU ou (>)
MALADIE DE TAKAYASHU.
Définition et causes.
Maladie vasculaire inflammatoire, de cause inconnue qui atteint principalement les parois de l’aorte et de ses branches

Epidémiologie.
C’est une maladie rare qui touche surtout la femme jeune.

Signes et symptômes.
Dans la moitié des cas la maladie débute  par des signes généraux peu spécifiques (phase systémique) : altération de l’état général, fièvre, douleurs articulaires et musculaires. A la phase vasculaire, quelques années plus tard, les signes sont les conséquences de sténoses, d’occlusions, ou de dilatations des artères concernées ; abolition ou diminution du pouls au membre supérieur, angor ou infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire… L’insuffisance aortique et l’hyperventilation artérielle sont fréquentes.

Investigations.
La biologie montre un symptôme inflammatoire. Le diagnostic est assuré par le bilan agiographique  qui montre des rétrécissements et parfois, des anévrismes au niveau des artères concernées.

Evolution, Complication et Pronostic.
La survie globale est de l’ordre  de 90% à 10 ans. Les causes décès sont le plus souvent l’insuffisance cardiaque, par les accidents vasculaires cérébraux ou les hémoptysies massives. La grossesse est possible et n’aggrave pas la maladie. Elle ne fait courir un risque à la mère qu’en cas d’hypertension artérielle mal contrôlée et elle expose au risque d’hypotrophie fœtale en cas d’atteinte des artères hypogastriques.

Traitement.
Les corticoïdes représentent  le traitement de fond. La chirurgie joue un rôle majeur dans les phases tardives  de la maladie (greffe, pontage, résection des anévrismes…)


28.    ARTERITE TEMPORALE ou (>)
HORTON (MALADIE DE).









29.     ARTHRITE.
Définition et causes.
Lésion articulaire inflammatoire, débutant au niveau de la synoviale puis s’étendant à l’ensemble de l’articulation ; les causes sont infectieuses (> arthrite infectieuse), rhumatismales (polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante..) ou métaboliques (goutte, chondrocalcinose).

Signes et symptômes.
Les signes communs à toutes les arthrites sont :
  • Une douleur (maximale pendant la nuit).
  • Une impotence.
  • Une rougeur, une chaleur et une tuméfaction.

Investigations.
Les radiographies montrent des signes variables selon la cause. Les examens sanguins objectivent un syndrome inflammatoire. La ponction (lorsqu’elle est possible) permet d’éliminer une arthrite infectieuse.

Evolution, Complication et Pronostic.
Le pronostic dépend de la cause, mais le principal risque est la destruction articulaire.

Traitement.
Les antalgiques et les anti-inflammatoires  sont la base du traitement, complétés par des plâtres de posture et une kinésithérapie en période non algique. Les eaux thermales sont vivement conseillées et apportent un  soulagement prononcé après une seconde cure. En cas d’arthrite septique, l’antibiothérapie est une urgence.



















30.     ARTHRITE  CHRONIQUE JUNENILE.
Définition et causes.
Rhumatisme qui débute avant l’âge de 16 ans  que l’on divise en trois groupes :
  • Forme systématique ou maladie de Still (>)
  • Forme polyarticulaire (poche de la polyarthrite rhumatoïde).
  • Forme pauci-articulaire (touchant au plus quatre articulations).

Epidémiologie.
Ce rhumatisme est beaucoup plus rare que la polyarthrite rhumatoïde. Il est deux fois plus fréquent chez les filles. L’âge moyen  de début se situe autour de 6 ans avec deux pics de fréquences  (3-4 ans et 9-14 ans). A répartition entre les trois formes est à eu près équivalente.

Signes et symptômes.
Les symptômes articulaires communs intéressent les genoux, les poignets, les doigts, les coudes, les pieds, les hanches… Il existe une douleur et une limitation  de la mobilité , ainsi qu’un gonflement et une chaleur locale au niveau des articulations superficielles dans la maladie  de Still  (>), les signes systématiques précèdent souvent l’atteinte articulaire.

Investigations.
Les radiographie montrent une hyper transparence des extrémités, puis un pincement articulaire. Le facteur rhumatoïde est, en général, négatif.

Evolution, Complication et Pronostic.
La principale complication est l’apparition de troubles de la croissance. Une atteinte oculaire (uvéite) est possible dans la forme pauci-articulaire. Une atteinte rénale (amylose) complique la maladie de Still. 

Traitement.
Les anti-inflammatoires (aspirine) sont la base du traitement  les corticoïdes ne sont utilisés que dans les formes systématiques graves du fait du risque du retard de croissance. La kinésithérapie et le soutient psychologique complètent le traitement.



















31.     ARTHRITE INFECTIEUSE.
Définition et causes.
Colonisation articulaire par un germe infectieux (bactérie, virus, microbactérie ou champignon). L’origine est plus souvent un foyer infectieux à distance (arthrites hématogènes ou métastasiques), mais une inoculation directe (acte chirurgical, injection, traumatisme) est également possible.

Epidémiologie.
Ce sont des maladies  de plus en plus rares depuis la large diffusion des antibiotiques. Tous les âges  de la vie sont concernés. Les patients atteints d’un rhumatisme inflammatoire sont particulièrement exposés. Le germe aujourd’hui le plus fréquemment en cause est le staphylocoque.

Signes et symptômes.
Il existe une fièvre, une altération de l’état général et des adénopathies satellites. L’articulation est douloureuse, raide, chaude et tuméfiée avec des signes d’épanchement. Il s’agit par ordre de fréquence décroissante, du genou, de l’épaule du poignet, de la hanche, des phalanges et du coude. Chez le nourrisson, le tableau est moins typique ; fièvre irritabilité, absence de mobilité spontanée du membre, douleur à la palpation et à a mobilisation passive de l’articulation.

Investigations.
La ponction articulaire permet d’identifier le germe. Il existe une vitesse de sédimentation très augmentée et une hyperleucocytose.

Evolution, Complication et Pronostic.
En cas de retard de traitement, le risque est la destruction de l’articulation. Chez l’enfant, la principale complication est un retentissement sur la croissance. 

Traitement.
Le traitement antibiotique par voie veineuse est une urgence médicale, initialement empirique en fonction du germe suspecté, puis rapidement adapté en fonction du germe identifié et de l’antibiogramme. Il est complété par le drainage (ponction à l’aiguille ou chirurgical) et à la mise au repos de l’articulation.  



32.     ARTHROGRYPOHSE.
Regroupement de plusieurs affections congénitales ayant en commun des raideurs articulaires  multiples, non évolutives. La cause semble être  une atteinte neurologique entrainant au cours de la vie fœtale, une immobilisation articulaire et une fixation dans les positions vicieuses. L’intelligence est normale  et il n’y a pas d’atteinte viscérale ; le traitement associe une rééducation et une chirurgie précoces.






33.     ARTHROSE.
Définition et causes.
Maladie dégénérative articulaire chronique due à la destruction lente du cartilage avec des anomalies osseuses sous jacentes. Les principaux facteurs de risque  sont l‘âge, les traumatismes, le surmenage d’une articulation ou l’obésité (pour le genou).

Epidémiologie.
C’est une affection très fréquente, dont l’incidence augmente avec l’âge. L’arthrose du genou est la première cause d’incapacité fonctionnelle.

Signes et symptômes.
Il s’agit d’une douleur mécanique ( qui est peu importante le matin, augmente dans la journée et est maximale le soir). Entrainant une impotence fonctionnelle (limitation des mouvements). Un épanchement synovial est possible.

Investigations.
La radiographie retrouve :
Un pincement  articulaire (excroissances osseuses).
Une ostéosclérose (condensation sous le cartilage).

Evolution, Complication et Pronostic.
L’évolution est plus ou moins rapide, mais inéluctable, vers une importance croissante. Dans certaines formes, il existe une destruction rapide de l’articulation.

Traitement.
Il comprend des moyens palliatifs pour ralentir l’évolution et soulager le patient (antalgiques, anti inflammatoires non stéroïdiens, infiltrations intra-articulaires, kinésithérapie…) La chirurgie est indiquée dans certaines localisations (hanche, en particulier).

Prévention et Education.
La perte de poids est essentielle dans les atteintes des membres inférieurs. D’une manière générale, il est recommandé d’éviter les activités qui entraient ses sollicitations répétitives  et contraignantes sur es articulations.

















34.     ARTHROSE CERVICALE  ou CERVICARTHROSE.
Définition et causes.
Atteintes dégénérative du rachis cervical avec atteinte des disques et formations d’ostéophytes (excroissances) osseuses entrainant un rétrécissement du canal cervical ou d’un ou plusieurs trous de conjugaison.

Epidémiologie.
Elle est banale à partir de la quarantaine et sa fréquence augmente avec l’âge.

Signes et symptômes.
Elle est plus souvent silencieuse ou se manifeste par douleurs de la nuque et un enraidissement du cou, avec une irradiation vers les épaules.

Investigations.
Les radiographies du cou permettent le diagnostic. 

Evolution, Complication et Pronostic.
L’évolution se fait par poussées durant de quelques jours à quelques semaines. La principale complication est la radiculalgie cervicobrachiale par compression d’une racine nerveuse.

Traitement.
Le traitement de la crise douloureuse comprend des antalgiques, des anti-inflammatoires, des myorelaxants, le port d’un collier et la physiothérapie. 


35.    ARTHROSE DU COUDE.
Affection rare qui touche les hommes ayant travaillé avec un marteau piqueur ou des engins assimilés. La gêne est modérée, des corps intra articulaires peuvent causer des blocages. Elle est susceptible de se compliquer d’une paralysie cubitale qui nécessite une libération chirurgicale.




















36.     ARTHROSE DES DOIGTS.
On distingue trois types.
  • L’arthrose interphalangienne distale ou nodosités d’Heberden est très fréquente chez les femmes après la ménopause et souvent héréditaire. Elle est souvent multiple, avec une atteinte progressive symétrique des deux mains, l’ostéphytose (excroissances osseuses) se manifeste par des nodosités postérieures (nodosités d’Heberden). Le plus souvent elle ne cause aucune gêne. Lors de la constitution des nodosités, l’aspirine et la mobilisation transitoire sont efficaces.

  • L’arthrose interphalangienne proximale ou nodosités de Bouchard est plus rare et se manifeste par un gonflement des articulations concernées (nodosités de Bouchard) et une limitation de la mobilité. Le traitement comprend les antalgiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens et, parfois des injections intra-articulaires de corticoïdes. 

  • L’arthrose trapézométacarpienne ou rhizarthrose du pouce est très fréquente chez les femmes après la ménopause. Elle se traduit par des douleurs du bord externe du poignet lors de mouvements du pouce. Le traitement comprend les antalgiques, les injections locales de corticoïdes et l’immobilisation. 


37.     ARTHROSE DE L’EPAULE.
Affection rare qui  entraine une raideur de l’articulation  et qui succède le plus souvent à un traumatisme  (fracture, luxation, rupture de la coiffe des rotateurs). La radiographie montre un amincissement  de l’interligne articulaire et une ostéphytose  (excroissances osseuses). Le traitement associe antalgiques, anti-inflammatoires, injection intra-articulaire  de dérivés de la cortisone et la kinésithérapie. La principale complication est l’arthropathie destructive rapide  de l’épaule qui peut nécessiter la mise en place d’une prothèse. 





















38.     ARTHROSE DU GENOU ou  GONARTHROSE..
Définition et causes.
Affection dégénérative de l’articulation du genou souvent secondaire à un genu varum (genou dévié vers l’intérieur de l’axe hanche-cheville) ou un genu valgum (genou dévie vers l’extérieur) ou à une malposition de la rotule.

Epidémiologie.
Elle atteint surtout les femmes, souvent obèses, après 40 ans.

Signes et symptômes.
Il existe une douleur à la marche (particulièrement à la montée et à la descente des escaliers), avec une difficulté à l’agenouillement et à l’accroupissement.

Investigations.
Les radiographies du genou montrent l’atteinte articulaire.

Evolution, Complication et Pronostic.
Les épanchements articulaires sont très fréquents. En cas d’atteinte fémorotibiale, la capacité  de marche peut être fortement réduite. 

Traitement.
Le traitement comprend  le ménagement du genou, les antalgiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiennes  et les infiltrations de corticoïdes. 
En cas d’impotence sévère, on aura recours à la chirurgie (correction  de la statique ou prothèse de genou).

Prévention et Education.
La réduction du surpoids est essentielle.


39.     ARTHROSE DU GROS ORTEIL.
Atteinte fréquente, bilatérale, de l’articulation métatarsophalangienne du gros orteil qui résulte souvent de microtraumatismes répétés, en particulier dans le cas du hallux valgus (>). Elle se manifeste par une raideur douloureuse qui gêne la marche et des poussées inflammatoires sont possibles. Une semelle orthopédique soulage les malades. Au stade primitif, la chirurgie est indiquée (arthrodèse ou fixation  de l’articulation). 













40.     ARTHROSE LOMBAIRE.
Définition et causes.
Affection dégénérative des articulations du rachis lombaire (surtout la charnière L5 –S1). Certaines professions (chauffeurs routiers…) ainsi que les obèses et certains sportifs sont particulièrement exposés.

Epidémiologie.
C’est la plus fréquente des arthroses et presque personne n’y échappe, même si toute le monde n’en souffre pas.  

Signes et symptômes.
Les douleurs sont lombaires ou lombofessières, d’allure mécanique (augmentant progressivement dans la journée). Des crises aiguës sont assez fréquentes (lumbago, lombosciatique).

Investigations.
Les radiographies permettent le diagnostic (pincement de l’articulation, excroissances osseuses = becs de perroquet).

Evolution, Complication et Pronostic.
L’évolution est plus ou moins rapide, mais inéluctable vers une aggravation progressive.

Traitement.
Il comprend les antalgiques, l’amaigrissement et la kinésithérapie. La suppression de la cause favorisante (reclassement professionnel) est souvent difficile.

Prévention et Education.
Une éducation de type de celle proposée par l’Ecole du dos est utile.


41.     ARTHROSE DU POIGNET.
Affection rare, qui succède souvent à un traumatisme ancien du poignet (fracture, entorse, luxation radiocarpienne, fracture du scaphoïde…). Si le port d’un bracelet de contention ne suffit pas, une intervention chirurgicale peut être proposée (arthrodèse = fixation du poignet).


42.     ARTHROSE TIBIOTARSIENNE.
Elle est très rare et ne survient qu’après un traumatisme  de la jambe ou du pied. Lorsqu’elle entraine une impotence de marche sérieuse résistant au traitement médical, elle nécessite une arthrodèse (fixation chirurgicale).    








43.     ASBESTOSE.
Définition et causes.
Fibrose pulmonaire diffuse (pneumoconiose) due à l’inhalation  de poussière d’amiante, se déclarant après une période  de latence de 20 à 30 ans.

Epidémiologie.
L’interdiction  de l’utilisation de l’amiante n’est intervenue en France  qu’au début des années 90. Elle peut se déclarer même après une exposition modérée. On évalue à 2 000  par an le nombre de décès dus à l’amiante en France (asbestose et cancer bronchopulmonaire), mais il est vraisemblable que ce chiffre soit sous estimé.  

Signes et symptômes.
Il existe une dyspnée d’effort progressivement croissante, fréquemment associée à une symptomatologie de bronchite chronique.

Investigations.
La radiographie et le scanner pulmonaire montrent des opacités réticulaires et des plaques pleurales. Le lavage broncho-alvéolaire retrouve des corps abestosiques de couleur jaunâtre.

Evolution, Complication et Pronostic.
La principale complication est une tumeur, le mésothéliome malin (>) de pronostic très défavorable. L’évolution est inexorable vers l’insuffisance respiratoire chronique.


Traitement.
Il est uniquement symptomatique.

Prévention et Education.
C’est une maladie professionnelle indemnisable donnant droit à réparation médico-légale. Un fonds d’indemnisation des victimes ainsi qu’un fonds de cessation anticipée d’activité des travailleurs de l’amiante ont été récemment crées. Une protection est obligatoire en cas d’exposition.  

Commentaires

  1. Le cancer colorectal, cancer du gros intestin, est le quatrième cancer en importance en Amérique du Nord. De nombreux cas de cancer colorectal sont associés à de faibles niveaux d'activité physique et à une alimentation pauvre en fruits et en légumes. Les personnes ayant des antécédents familiaux de la maladie présentent un risque plus élevé. Je tombe avec cette maladie pendant 5 ans également avec beaucoup de peur, parce que j'attendais la mort tous les jours de ma vie jusqu'à ce que Mon Fils vienne me voir à l'hôpital en m'expliquant qu'il a trouvé un guérisseur à base de plantes Le Nigeria pour soigner mon cancer colo-rectal, j’étais tellement choqué par cet idéal que j’étais excité à l’intérieur de moi.Mon fils m'a demandé de nous laisser essayer, parce que nous avons vraiment entendu beaucoup d’escrocs prétendant guérir tous les maladies associées aux plantes médicinales et certaines d’entre elles ne donnent jamais un résultat positif à la fin, mais nous étions très confiants en ce docteur en herbes médicinales, comme je l’ai dit, nous lui donnons l’essai et il m’a envoyé un médicament à base de plantes à boire pendant trois semaines, Sincèrement, je vous dis aujourd’hui que je ne suis plus en vie et en bonne santé et qu’il n’ya plus de cancer colo-rectal.Je partage ce témoignage pour les personnes qui sont malades et qui souhaitent contacter cet homme merveilleux. Son nom est Dr Itua. Et son contact Whatsapp_ + 2348149277967 ____ Email ... drituaherbalcenter@gmail.com.He peut curer e maladies telles que: cancer de la vessieCancer du sein cancer du sein cancer du cancer de la prostate cancer de la vessie cancer de la leucémie cancer de poumon lymphome non hodgkinien cancer du sein cancer de la prostate cancer de la peau cancer de parkinson, maladie de alzheimer, maladie de bechet, maladie de crohn
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